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 Le survivant caché du clan Senju [Terminer]

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Tobirama Senju
Juunin de Konoha
Tobirama Senju


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MessageSujet: Le survivant caché du clan Senju [Terminer]   Le survivant caché du clan Senju [Terminer] Icon_minitime1Mer 17 Aoû - 15:32

Senju Kibin'
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-PRÉSENTATION GÉNÉRAL-
Surnom: Konoha no Ekishi
Age: 26 ans.
Sexe: Masculin
Taille: 176 cm
Poids: 71 kilo

-DÉTAIL DU SHINOBI-
Spécialité & Affinité: Ninjuts, Kenjutsu, Jikukan / Suiton
Village Actuel: Konoha
Village d'Origine: Konoha



DESCRIPTION PHYSIQUE
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    « Charmant... Beau... Séduisant... Charismatique... » Disent les femmes...
    « Impressionnant... Effrayent... Intimident... Charismatique... » Disent les hommes...


    ○ Atypique serait le terme que j'emploierais pour parler de moi. La peau pale. Les yeux d'un vert émeraude et les cheveux sombres d'un noir opaque. Une telle différence dans les nuances, qui pourtant s'accorde avec malice pour former un visage fort et charismatique. Ma peau semble fragile, délicate, sans doute dû à cette blancheur maculer, mais mes yeux, retire toute cette part de fragilité pour y inclure une cendre incandescente prête à s'enflammer face au danger. Mes lèvres sont fines, désirable, s'accordant avec perfection aux rondeurs de mon visage.

    Comme l'évoque mon regard, mon corps est puissant, fin et musclé. Je ne suis pas de grande taille, mon poids est dans un parfaite accord avec celle-ci. Lorsque je suis a demi nu, que mon torse est visible, il n'est pas difficile de deviner se que je fais de l'essentiel de mon temps. Chaque reliefs, chaque muscles sont dessiner avec ardeur, ne laissant aucune incertitude quand à ma condition physique.

    Mes cheveux, d'un noir d'une nuit opaque, ne sont que bataille, offrant un aperçue sur l'un de mes traits de caractère. En effet, mon esprit n'est que bataille, continuellement tirailler entre le regret et l'envie de voir autre chose.

    Je suis vêtu de tenu sombre, aux teintes similaire à mes cheveux, comme pour montrer un certain ordre dans ce désordre, offrant ainsi un deuxième aperçu à un second trait de caractère. Celui de la cohésion, du fait que tout est lié, au fait que je sois réfléchie. Je porte souvent une longue veste de cuire et un bas me laissant toute liberté de mouvement. Des vêtements peu communs, mais totalement adapter aux situations précaires de combat.

    Il n'est pas rare de percevoir sur l'immaculé de ma peau, quelques souillures, des blessures de guerre du à des combats acharner, des combats frénétiques. Ou de simple coupure du à de long entrainement à la maitrise de l'épée. Mes mains étaient rugueuses, durcit part les longues heures du maniement de l'arme.

    En outre, je suis bel homme, mais je conserve cette aura qui effraye. Musclé a souhait et pourtant, aucunement ralentit dans ma gestuelle tel un dangereux félin.







DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
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    « Qui es-tu? »
    Qui je suis? Je ne suis rien de plus qu'un homme. Voilà qui je suis. Un homme combattant avec un but, avec une détermination, avec une envie d'aller plus loin.

    « Il est fier. » Voici le genre de choses que vous pourrez entendre à mon sujet si jamais vous veniez à vous renseigner. Mais soyons plus précis, moins disperser. Parlons simplement de moi.



    ○ Un homme, ninja de surcroit se doit d'être déterminé, sinon, il ne ferait que du sur place. Il ne pourrait penser à évoluer, pire il mourrait, car la détermination et la clef de tout et un homme, ninja ou pas, qui n'as plus " l'envie " ne peu survivre. Un fort moral, celui d'un battant, celui d'un homme qui a vue la mort et qui ne la craint plus depuis longtemps. Je suis d'une nature froide, bien qu'il m'arrive d'aller vers la dérision dans des situations qui méritent sérieux et concentration. En fait, je semble détendu en toute situation et cela malgré cet air glacial.
    Au fond, et ce malgré une image dur, je suis un grand sentimental, aimant la compagnie féminine. J'aime le défi, le combat, la difficulté, mais je n'ai rien contre les moments de tranquillité, ou de détente.

    Je ne suis pas un grand bavard, bien qu'il m'arrive de me laisser aller à des discours, plus moins intéressant, en fonction des personnes face à moi. Bien que peu bavard, j'ai la conversation facile et bien que sous mes faux semblant de dur a cuir, il n'est pas difficile de démarrer une conversation digne de ce nom. Aillant de large connaissance en plusieurs domaines, je suis capable d'aborder tout type de discutions. Mais ne vous laisser pas avoir lors d'un débat, plus têtu qu'une mule, je n'admets que très rarement avoir tort et oui, la détermination n'as pas que de bons coter...

    Mon mental fort, fait aussi de moi un homme d'autorité, aillant un leadership naturel, bien que je n'apprécie pas l'utiliser qu'un poste d'autorité ne m'intéresse pas, il m'arrive de l'utiliser lorsque la situation mit pousse.

    Je suis la personne qui me connait le mieux, ainsi je connais mes limites et en fait un atout précieux en se qui concerne mon assurance. Oui, je suis très sur de moi et il ne m'arrive que très rarement de douter, que ce soit lors de la réussite d'une mission, d'un entrainement, ou lors d'un combat. Il faut dire, que dans notre " métier " le doute n'est pas permit et peu couter chère.

    Séducteur, j'aime séduire, l'idée d'être aimé, apprécier... Pourtant, je ne fais rien pour, cela ce fait naturellement.

    Malgré mon attitude souvent désinvolte, il n'en reste pas moins que je suis un homme très poussé dans sa réflexion, pensif au passé pour mieux apprécier l'avenir. Transit pars l'idée de voir un père disparue, fière.
    Comme beaucoup, je n'aime pas être dirigé, préférant la liberté, ce que je prends souvent et cela face à n'importe qui. Je pense que le fait d'avoir une appartenance à une civilité, ne nous oblige pas à la suivre. Il est évident, que je suis fidèle et que j'aime cette appartenance, mais je ne tien pas à être régit comme un mouton.

    Tuer n'est pas une chose que j'apprécie faire, mais cela ne me gêne pas plus que ça. Il m'est arrivé de commettre des meurtres d'une atrocité peu commune, non pas pars plaisir, mais pars devoir, pars obligation. Mon rang m'oblige à cette cruauté et je n'ai aucun remord à l'appliquer de quelque manière que ce soit.



HISTOIRE
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    ○ Intro

    ○ « Triste est la vie, triste est la mort. Triste est l'amour, triste est la haine. Tant de tristesse, pourtant, nous êtres humains, nous nous accrochons désespérément à cette vie. Je ne puis dire si la mienne sera mieux que celle des autres, je sais simplement que ma vie à entrainé de la tristesse et qu'elle en entraînera encore. S'il suffit d'une vie pour en enlever des millier, alors j'ai été désigné a accomplir l'acte du destin, celui de redorer le blason du fléau, de la mort, de la haine. Ma naissance a ouvert un gouffre, un gouffre si profond que l'humanité entière va se laisser engloutir par la noirceur de mon âme et va finalement voir les ténèbres dans mon regard. Je ne suis point l'élément du chaos, j'en suis l'un des instruments. La mort, je ne la donne pas, elle viens à vous, elle me poursuit et semble vouloir ne pas me prendre... » Mon père refermait ce livre, don le nom ne me reviens pas. Souriant, il me regardait. Je me souviens encore aujourd'hui de cette histoire. Elle m'avait pousser à la réflexion. Et si moi aussi j'étais née pour tuer? Mon père avait sans doute lu mon mal-être sur mon visage, car il reprit. « Tu sais fils... Les hommes commette des actes bon ou mauvais, mais l'important, n'est pas la vision des autres sur leurs actes, mais la manière don eux-même la perçoivent. Soit fière de toi, peu importe ton but, seul ton chemin est important. Je serais fier de toi. » Il m'avait fait comprendre un point existentiel à la suite de ma vie, depuis ce jour, je n'ai jamais douté que la seul moral qui m'importait; était la mienne.

    J'ai eu une belle enfance, fils de Shinobi, née dans une famille stable et unis. Une mère venant me border toutes les nuits. Un père me poussant à devenir plus fort, espèrent que je suive ses traces. Oui, mes premières années furent belle. Dommage que toutes histoires ne finissent pas forcement bien, quoi que la mienne est loin d'être terminer.

    Mon père était donc un shinobi du clan Hayasa', ancien membre de l'élite du village, redevenu Junin pour être plus proche de sa famille. Il était respecté pars ses pères et avait une affluence particulière sur le Hokage de l'époque. Mieux, il était le meilleur ami de l'un de mes héros. L'un des grand Juunin du village de Konoha, connu pour sa descendance du clan Senju mais surtout pour ses faits d'arme, beaucoup de bruit courraient sur luii, nottament le fait qu'il n'était pas qu'un simple juunin. Mon père était lui aussi une fine lame, pouvant presque prétendre être au niveau des héros du pays. Le clan était réputer et fut appeler à rejoindre l'ANBU de Konoha, ou il fut dans un premier temps au service d'un sous branche de l'ANBU de cette époque. Bon shinobi et très bon mari et excellent père de famille. Trop bon peut-être...
    Voici l'instant qui a fait basculé la vie de ce qui aurait sans doute été un shinobi dans les normes. Ma vie...


    ○ Chapitre un; L'inertie


    ○ Il était partie en mission, comme à l'habitude. J'étais rester avec ma mère, allant chaque jour a l'académie, avec l'espoir de faire la fierté de mon père. Une routine qui se jouait souvent. Il avait des responsabilités et surtout, il n'aurait jamais imaginer un tel drame.
    Pendant son absence, se jouait une scène que moi-même, je n'aurais pu imaginer. Digne des fables aussi vielles que le village, fables raconter part les anciens pour effrayer les jeunes. Au soir, alors que le soleil descendait vers l'horizon, je marchais innocemment, totalement imperturbable, ignorant du danger qui pesait sur moi et ma famille. Certes a cet age, je n'aurais rien pu faire, qu'est-ce qu'un gamin de 6 ans, pouvait-il faire lorsqu'il tenait sur ses épaules tout le poids du monde? Non, je n'aurais rien pus faire d'autre que ce que j'avais fait, soit, rester passif face a un danger que je ne voyais pas. Même lorsqu'il fut face a moi, je ne compris pas. N'était-il pas le meilleur ami de mon père? N'était-il pas un héros? C'était cet instant qui changea définitivement ma vision de la vie. C'était à cet instant que je compris cette dernière lecture faite part mon père. Oui, je représenterais le mal, comme je représenterais le bien, car pour apporter le bien, je devrais passer pars le mal, pars la douleur, pars la haine.
    Aujourd'hui, je savais pourquoi il avait fait ça. Mais lorsqu'un gamin, encore pur, qui n'avait vu le sang que lorsqu'il s'était blessé avec un kunai lors d'un entrainement entre copain pars exemple se retrouvait face à cette scène. J'ai à ce jour commis beaucoup d'horreur, mais jamais je ne m'étais rabaissé a cela. Il se tenait debout, les yeux d'un satire, riant de mon entrer inopportune. Ma mère a ses pieds, en larme, en sang, mais vivante. Son corps a moitié nue, mutiler de part est d'autre. Elle criait, mais je n'étais pas capable de savoir ce qu'elle m'avait dit, les souvenirs me faisaient défaut, a moins que ce ne soit que le choc de cette vision qui m'avait rendu sourd à sa peine. Puis plus rien.

    La douleur et les larmes. Mon visage était noyé part des effluves d'eau que je ne parvenais pas à freiner. J'entendais gémir ma mère, plaintif, part chance, me dis-je aujourd'hui, les larmes brouillaient ma vue et je ne pus voir cette horreur qui lui faisait subir et qu'il avait dû lui faire subir avant ma venu. Puis tout s'arrêta, net, un silence, qui je me souviens, avait longuement pesé. Elle, ne disait rien cloitrer dans un mutisme sans doute dû au choc mental de ce qu'elle subissait. Lui, je le haïssais plus que tout. En fait, a cet instant précis, je haïssais surtout mon père qui n'était pas là, je haïssais ce village qui causait son absence. Je haïssais tout alors que j'ignorais le sens même du mot haine.
    Je n'aurais su dire combien de temps nous restâmes séquestrer, j'étais tantôt nourrit, tantôt battu, tantôt obliger à écouter les sévices qu'elle subissait. Je l'avais longuement supplié d'arrêter, mais a chaque supplice, il devenait plus sadique, je m'étais donc terré dans un mutisme égal à celui de ma mère. Vint le jour ou mon père revint, je ne me souviens gère de la suite, trop flou, trop abattu. Des mots, puis un combat, des coups, du sang. La dernière image qui me reste de ce jour est; mon père a genoux, le regard porter vers moi et son bourreau, épée en main abattant celle-ci contre sa gorge, laissant finalement, un regard vide rouler sur le sol.
    Aujourd'hui, je me souviens des mouvements de lèvres de mon père. « Soit fort. » Disait-il. En tout cas, je ne pus supporter cette vision et perdis connaissance.


    ○ Chapitre deux; La relève


    ○ Les choses sont bien souvent ironiques. Comme quoi, même lorsque le destin nous joue des tours mortel, il peut se retourner et nous tendre une main. Âpres l'avoir vu le tuer, j'aurais juré qu'il finirait le travail, me tuant aussi. A mon réveil, la pièce était teinte de rouge, immaculé de sang. Les deux corps de mes parents étaient allongés, l'un à côté de l'autre. Leur bourreau était assit buvant tranquillement dans la tasse appartenant à mon père. Il me regardait, cette folie dans son regard avait disparu. Un sourire, il prit la parole lorsqu'il comprit que je ne dirais rien. M'expliquant pourquoi il avait fait ça. Mais comment faire comprendre à un gamin que la simple raison de commettre cet acte était un but de se prouver qu'on était le meilleur.
    Jaloux, du fait qu'il n'avait pu obtenir ma mère, jaloux d'être moins proche du Hokage que l'était mon père. Il voulait prouver à tous, qu'il méritait plus d'honneur que son ami. Aujourd'hui, je trouve ça pitoyable. Tous son discours ne répondait pas à la plus importante des questions, pourquoi ne m'avait-il pas tuer?
    Je me souviens parfaitement de ses mots. « J'ai prouvé que j'étais le meilleur, il me faut du défi à l'avenir, je te garde en vie, mieux, je vais devenir ton sensei, t'apprendre tout ce que je sais, faire de toi un tueur, ainsi peut-être que j'aurais un véritable adversaire à l'avenir... » Voilà, comment à l'age de 6 ans, après avoir vu mourir mon père, ma mère sous les yeux, j'étais devenu un apprenti ninja, voila comment c'était faite mon intégration dans la RACINE, sous branche caché de l'ANBU et indépendante des ordres du Hokage, l'élève du meurtrier de ma famille, de celui qui m'avait ôté mon innocence, voler mon enfance, au profil d'une maturité prématurée.

    Les choses allèrent vite et bien que je haïssais cet homme, je savais aussi que j'avais besoin de lui, il serait le meilleur pour me pousser à devenir un tueur. Il était le plus performant pour me former à le tuer. Ma haine, ma rage et ma vision sur l'homme me pousserait chaque jour a le dépasser. Il était expert en suiton et surtout, il était connu comme le ninja le plus vif de Konoha après le légendaire Minato. De part la force de son art. Malgré l'écœurement qu'il me représentait, je devais admettre qu'il excellait dans l'art de l'enseignement, à moins que ce ne soit ma motivation qui m'ouvre autant de possibilité. J'avais quitté l'académie, devenu trop primaire et un frein à une bonne évolution, j'avais rejoints une autre école, remplie d'orphelin comme moi. Il m'expliquait souvent que mon avenir était déjà tracé et que je n'aurais pas utilité de passer part les pallier primaire, comme genin, chunin, junin... que je prouverais mon rang de pars mes actions. Maintenant, je savais ou il voulait en venir, mais à cette époque, aveugler, je ne comprenais pas.

    Je vivais avec lui, mangeais avec lui, je l'accompagnais lors de ses missions. Les ANBU de la RACINE, contrairement aux autres ninja de Konoha possèdent la liberté d'action et étant devenu son apprenti, il n'avait besoin de nuls autorisations pour me convier à ses expéditions, du moins c'est ce qu'il m'expliquait et donc que je croyais. J'évoluais de jour en jour, ignorant la fatigue, oubliant les limites apposer pars l'être humain. J'avais un but; le tuer. Et l'écouter était la meilleure route pour arrivée à mon but. Les années s'écoulaient et ma haine ne c'était jamais effacer, je mûrissais, gagnais en force et en intelligence, comprenant beaucoup de choses, me posant beaucoup de questions. Des questions que jamais je ne lui avais poser. A l'age de 14 ans, il me disait que j'avais le niveau pour entrer dans l'ANBU, à savoir si c'était vrai. Il semblait fière de moi et j'en étais dégouté. Je ne voulais rien de lui si ce n'est-ce qui me servirait à le tuer et sa fierté m'était inutile.


    ○ Chapitre trois; Le défi


    ○ Le jour vint enfin, celui du défi, celui qui traduirait si oui ou non j'avais fait le bon choix. Soit il mourrait, sois je mourrais. Je n'avais pas fait la chose sur un coup de tête, j'avais préparé le terrain. Je voulais éviter les revers de fortune, les complications que pourraient engendrer la mort d'un membre de la RACINE. C'était pourquoi j'avais été voir le leader du groupe, Danzo, le prévenant de mes actes prochains. Il ne c'était opposé à mon choix, au contraire, il m'appuyait, m'expliquant que je devais en le mettant a mort oublier toutes émotions. Il n'était pas rare que les conflits se règlent en face à face et il n'est pas rare qu'il y ait des morts. Lorsque je vins le voir, pour lui annoncer que le jour était venu, il ne sembla pas surpris, au contraire, il était prêt.
    Étais-je sur de moi? Non, je n'avais pas encore l'assurance que j'avais aujourd'hui. Il était puissant, rapide et surtout, il avait l'expérience des combats à mort. Sur le papier, je n'avais aucune chance, mais je croyais en moi et je ne voulais douter de mes chances. Je me souviens encore de l'effet que j'avais ressentis lorsque nos regards se croisèrent. Un frisson, puis l'excitation, l'adrénaline et l'odeur ogre de la mort avant même que celle-ci n'arrive. Encore aujourd'hui, j'ignorais s'il avait douté de lui en percevant mon désir de le tuer. Il savait de quoi j'étais capable, ou du moins, il pensait le savoir, car arrivé à un certain stade, j'avais dissimulé ma progression, ainsi, j'étais quelque peu plus fort que ce qu'il devait penser. Je ne connaissais que des jutsu que lui-même connaissait, j'avais commencé a développé l'art qu'il m'avait apprit, la dernière étape de mon entrainement disait en m’enseignant les bases du Kekkei Genkai nommé Jikukan, qui avait fait le nom de Minato et été créer par le défunt Nidaime Hokage. Je ne pourrais le surprendre que de part ma vitesse, ma force et ma dextérité. J'avais frémi lorsque j'eus entendus le son de sa lame sortie de son étui. Elle était magnifique, elle avait retiré la vie de mon père, de ma mère.

    Le combat avait démarré dans un éclat d'étincelle du à l'entre choc de nos lames respective. Un duel de force, une guerre des nerfs. Il sembla dans un premier temps surpris du fait que je parvienne à suivre son rythme. Mais il s'accommoda rapidement de se fait et accéléra le rythme. Il prit l'avantage a plusieurs reprises, mais je compris rapidement qu'il ne faisait que jouer. Voilà, c'est lorsque je compris cela que je savais de quelle manière je gagnerais. L'excès de confiance était une erreur, lui-même me l'avait enseigné. Je baissais le rythme, certes il dominait à l'origine, mais ainsi, il penserait que j'avais atteint mes limites et lui-même baisserait sa garde. Il jouait davantage, mais ne se rendait pas compte que je jouais encore plus et alors qu'il pensait dominé, la situation c'était retourner. Il se rendit compte de son erreur lorsque son sang pourfendit le sol dans un éclat vif. Sa joue c'était fendu et je revis ses yeux, les mêmes cas cette époque... La rage doublait ma vitesse, je me souviens encore avoir comme été porter. Ma force semblait surpasser toute logique humaine, je frappais contre cet homme qui au fond avait été pour moi un second père. J'avais pleuré en combattant, brouillant ma vue plus qu'elle ne l'était sous l'excès de la colère.

    Puis se fut la fin. Un réflexe? La chance? Mais lorsqu'il effectua le dernier geste pour en finir avec moi, se fut moi qui pourfendit son torse. Je venais de remporter la victoire, du moins je le crue. Il s'effondra, a genoux, il leva la tête et nous nous retrouvions 16 ans en arrière, lui dans la position de mon père et moi dans sa position. Je pouvais l'achever. Mais je ne le fis pas tout de suite. Je l'écouta. Même le pire des enfoirés méritait des dernières paroles.

    « Bravo... mon fils... » Dit-il dans un cracha de sang. Je compris tout de suite. « Mon rang ne me permettait pas d'élever un enfant et encore moins d'aimer une femme. Pourtant, c'est une chose que je rêvais de faire et je dus attendre... » Il s'arrêta un instant, le souffle court, puis repris. « Je dus attendre 6 ans pour trouver le courage de prendre mes responsabilités. Mais ni elle, ni lui, mon soit disant ami ne l'accepta. Je ne pouvais l'accepter![i] » Ses yeux brillèrent de fierté. «[i] C'était le seul moyen pour moi d'être au plus prêt de toi... Je t'aime mon fils... continue d'apprendre l'art du Jikukan car il est l'héritage de mon grand père, de ton arrière grand père, le grand Tobirama Senju... Préserve notre héritage et deviens un grand shinobi » Il s'effondra totalement... Quittant ce monde.

    Aujourd'hui je suis l'enfant de deux pères. Deux qui au fond j'ai autant hais qu'aimer. Je suis un ninja accomplie, qui a vu le destin lui jouer le tour le plus inattendu. Aujourd'hui j'ai affronté la mort et elle ne m'effraye plus. Aujourd'hui je pense que les hommes vivent de leurs crimes et cela a juste cause, car cela tient de leurs propres survit.
    Pourtant, leurs actes sont-ils acceptable? Je ne pense pas. Sans doute est-ce la raison de m'a venu au monde, refaire venir cet équilibre et influer sur la vie. Je ne suis pas pour la mort, mais je n'hésite pas à la donner. Je ne suis pas pour la vie, mais je n'hésite pas à la prendre. Je suis simplement Kibin' Senju...

    ○ Chapitre quatre; L'ellipse


    ○ Depuis se jour beaucoup de choses se sont passé. De grand événement, des changements, la vie à beaucoup évoluer à Konoha. La mort de Sarutobi, la haine de Danzo envers lui. L'attaque de Suna sur Konoha, le retour du Sanin Jiraya, puis de Tsunade, sa prise de pouvoir à la tête de Konoha... Cette quatrième grande guerre ninja. La destruction de Konoha par l'Akatsuki. la courte monté au trône de Danzo, puis sa mort... Moi? Je n'es fait qu'assisté a tout cela en tant que spectateur. Préfèrent l'observation à l'action, m'entrainant pour un jour me révéler au monde.

    Aujourd'hui, la guerre est terminer, Danzo est mort et la RACINE n'est plus réellement actif. Aujourd'hui j'ai le droit de prendre mon indépendance. Durant les six dernier mois, j'ai pu m’intégrer a Konoha, devenir Juunin, apprendre a vivre en communauté, réapprendre les sentiment, chose que j'avais oublié ses dernières années. Contrairement à beaucoup d'orphelin qui ont grandi à la RACINE, j'ai eu la chance d'avoir un père et de conserver un semblant de sentiment, même si celui-ci était surtout la haine.

    L’intégration n'est pas simple, surtout que le village est encore en reconstruction et que le nouvel Hokage, le jeune Uzumaki Naruto prend encore ses marques. Les choses évoluent vite et nous ne sommes pas à l'abri. De mon coté, j'ai appris à dissimuler mes pouvoirs, j'ai pu constater avec cette guerre que l'héritage laisser par mon arrière grand père n'est pas forcement bénéfique au vue des ressuscités de l'Edo Tensei. Je n'es pas encore été assigné a une équipe, peut-être à cause de ma provenance de la RACINE, ou simplement du au faites qu'il y est actuellement des choses plus importance que cela. Aujourd'hui, je réapprend a vivre et je savoure cette chance qui m'est offerte. Je retiens les leçon du passé, les enseignements de mes deux pères, je vais vivre ma vie celons mes envies...





-DÉTAIL SUR VOUS-
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MessageSujet: Re: Le survivant caché du clan Senju [Terminer]   Le survivant caché du clan Senju [Terminer] Icon_minitime1Jeu 18 Aoû - 13:32



    Bienvenue Wink

    Sympathique présentation, bien écrite, fluide et agréable.
    L'histoire est bien pensé avec la mort des parents, être élevé par le tueur de sa famille et enfin apprendre que ce tueur est en faite le père de ton perso (si j'ai bien capté xD)

    Validé Juunin donc. Je vois pas d'objection pour le Jikukan donc pour moi c'est ok.
    Tu peux faire ta fiche ninja et ensuite aller Rp Wink

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