De la drogue, encore un peu, juste un peu ...

De l'air, de l'air, je ne respire plus, je n'y arrive plus. Je ne comprend plus je n'assume plus. Je tombe à genoux, j'aggripe se que je peux, griffant l'ecorce de ce vieille arbre comme s'il n'était rien qu'une feuille de papier face à ma rage. Mais se n'est pas totallement cela. Ma dependence me soumet à la torture de mon âme. Ma drogue me soigne et m'enfonce dans les ténèbres dont je me delecte avec satisfaction. Mais cette fois, j'ai eut des ordres: Pas de drogue. Puis je le faire ? Sans blesser ? Sans mordre ? Sans tuer ? Ma seul solution et de fuir et d'attendre que l'éternité s'écoulle et que ma drogue disparaisse. Je tombe le front contre l'abre, saignant puis glissant sur le sol le flont entrant violament en contacte avec se derniers.
Mais je n'ai pas mal à ses endroits, j'ai mal a la tête, comme si on me sciait le cerveaut. j'ai mal au coeur, comme si on me l'arracher, je crache mes poumons je vomis tout se que mon estomact ne contient plus et ma gorge s'écorche de mes gemissement et de mes cirs: je saigne.

Ton mon corps reclame, tout mes mucles tresaillisent douloureusement, j'ai mal. Si mal que j'aimerais parfois que l'on m'achéve. Simal, que j'aimerais parfois n'y avoit jamaismit les pieds, dans ce putain d'hopital qui fit ma mort se jours là.

C'était un matin, un doux matin de printemps alors que j'étais inconisente a l'hopital. J'étais jeune, mon sensei était a coté de moi ma main dans la sienne serant celle ci. Mes yeux s'ouvrir et aucun mot ne fut prononcer. Un sourire fin et douloureux se dessina sur son visage tordue par l'impuissance : Un membre de notre équipe était mort cette nuit ou la mission avait très mal tournée. La faute a qui ? La faute au manque d'information, a la legereté de la mission par rapport a ses contrainte. La faute à pas de chance, en fait. Mais la douleur de cette mort la fit pleurait, la fit hurler comme jamais elle n'avait pu le faire avant. Elle ne savait que trop bien que cette mort la dechirerait, la tuerait, la plierait. Mais se qu'elle ne savait pas : c'est qu'elle n'aurait aucun soutien d'une autre personne qu'elle aimait plus que tout.
Kana Katashi, frère Jumeau de Kane Katashi, moi même, était mort en cette douce nuit ou les cerisiers pleurait leurs éphèmère couleur rosé. Et c'est en cette nuit aussi que je ne put qu'être se que mon frères aurait dut devenir. Ma mère, si laide et si ideuse, était la femme la plus cruelle au monde : " Oh Kana, mon Kana " " Non madame, c'est votre fille là!" " NON ! Je sais très bien reconnaitre mon fils! * repose son regard sur Kane * ne t'inquiette pas, je prendrais soin de toi puisque Kane est morte." Morte oui, morte se soir sans un mots, les jumeaux avaient disparut. Tuer par un Kunai et par l'amour. Tuer par la vie et par la mort à la fois. J'avais si mal, tout au fond de moi, que cette femme ne face pas attention à se que je suis et prefere de loin voir son fils à travers mon corps fragilisé par cette nuit de dure lute et de torture. Par cette nuit où l'être le plus chair à mon coeur était mort!

La chute ne se fit pas attendre après cela. Une longue, très longue degringolade dans une puit au parrois si lisse qu'il en était impossible de s'accrocher. Mes ongles se brissaient sur se même puit et rien ne me terorisais plus que de penser aà elle. Cette mère indigne qui me faisait souffrir, jours après jours. Rien ne m'andicapé plus et la drogue se faisait ma seul alier. Calmait mes maux et mes douleurs, calmant ma folie meurtrière et aussi, mes envies de suicides.

Je suis quelqu'un de si salle, de si salle ...

«Je suis en manque. » Déclara la jeune fille d'un ton sobre et sans émotions. Comme si elle déclarait simplement 'Je veux du sake se soir'. Les mots sonnaient de la même manière. Sordide, et étrangement roque. Des Flash lui revenait en tête, des images, des visions. Un frères qu'elle avait perdu il y a longtemps.
Kane leva les yeux sur le visage de son interlocuteurs et ses tremblement s'arrêtèrent soudainement. Elle avait des yeux rond, fixe, comme surprise de voir se jeune homme a la chevelure d'un blond soleil. Elle l'observait, mais se n'était pas vraiment lui qu'elle voyait dans ses traits fin. Se qu'elle voyait c'était l'image de son jumeau perdu. L'image délicate perdu dans ses songes. Elle souffla, se redressa doucement puis leva sa main droite, si froide, vers le visage de son frère. elle le toucha. Il était si chaud...

Un sourire étrange marqua le visage de la belle. Délicat, tendu, triste, nauséeux. Un sourire maussade et dont les teintes rouges, presque sang, semble appeler au souvenir lointain.
Dans ses yeux vitreux par contre, presque gris, on voyait qu’il n’y avait plus rien. Un neant de tristesse insurmontable. Un endroit où nous aimerions nullement nous y noyer. Et pourtant, on s’y plonge, sans s’en rendre compte. Caressant l’abysse d’un désirs de pardon. Elle murmura : « Kane ! » Puis semblant surprise du contacte chaleureux et long, elle retira sa main, crispé, les yeux toujours posé sur le jeune homme : « Mais … Tu es mort! » Et l’image de son frère s’effaça. Remplacer par le cadavre non chaland de son frères étendu dans la neige et dans l’horreur. L’image s’effaça et Kinsei revint devant les yeux de la princesse au songe morbide. « Excusez moi .. » dit elle.
La jeune fille tenta de se relever, en vint, elle resta assise, sans bouger. Prise a nouveau de leger spasme. Elle souffla, ne bougeant pas. Surprise de ne pas tenter d’écorché se visage pale qu’elle voyait devant elle. Alors qu’elle sait que le visage de son Sensei : elle l’aurait écorché vif.
Sans doute parce qu’il ressemblait a son frère disparut. Mort dans des contré lointaine et dont on n’avait jamais retrouver le corps.