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 Fiche Shy Maura U.C

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Chii Yachou
Juunin d'Ame
Chii Yachou


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MessageSujet: Fiche Shy Maura U.C   Fiche Shy Maura U.C Icon_minitime1Jeu 18 Aoû - 14:32


Naruto no Seitan'
Fiche Rp


Fiche Shy Maura U.C Icon_p10

    Nom : Mazura
    Prénom : Shy
    Surnom : //
    Âge : 19 années
    Poids : 56kg
    Taille : 168cm
    Lieu de naissance : Iwa No Kuni
    Village actuel : Iwa
    Rang : Junnin
    Niveau estimé : Junnin
    Date de promotion Genin : 23 août (12 ans)
    Date de promotion Chuunin : 31 janvier (16 ans)
    Date de promotion Juunin : 30 janvier (18 ans)


      Spécialités : Ninjutsu, Fuinjutsu, Kekkai Genkai
      Affinités : Doton

      Style de Combat :

      Équipement :
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      Liste de Techniques :
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      Relations :

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        Nom : Remplir Ici
        Village : Remplir Ici

        Description de la relation : Remplir Ici

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        Nom : Remplir Ici
        Village : Remplir Ici

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        Nom : Remplir Ici
        Village : Remplir Ici

        Description de la relation : Remplir Ici

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      Buts dans la vie :



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      Histoire :
      Court instant, longues années.

      J’ai toujours pensé que la vie peu agitée que je menais me mènerait à une fin proche à d’effroyables coups d’éclairs. De manière rapide sans que je n’aie le temps de sentir mes sens s’engourdir et bien avant que je ne puisse réfléchir à mon dernier soupire. Jusqu'à maintenant, j’avais toujours paru molle et sans grandes convictions. C’est vrai, qui étais-je pour juger des réelles valeurs de mes rêves ? Imaginer une gloire ? Aspirer à une grande puissance ? Toutes ses choses qui n’ont pas fait de moi ce que j’aurais pu être auparavant. Longuement, j’avais médité sur mon état presque amorphe de kunoichi discrète et sans problèmes. J’envisageais même une reconversion complète du personnage que j’avais réussi à faire évoluer tant d’années durant. Et non, ma vie n’a jamais été un long fleuve tranquille et oui, j’ai toujours eu cette sale impression que ma vie n’était qu’une triste émotion, une âme de plus sur terre, une âme mélancolique sans joies concrètes. Une simple jeune fille, en bas de l’échelle, semblable à son village placé aux flancs des montagnes. Encore coincée, ne pouvant combattre son propre regard dans la glace. Jeune écervelée, qu’espères-tu de la vie ? Qu’attends-tu exactement de la part des autres ? Comment pourrais-je le savoir ? Je n’avais aucun but, rien qui puisse me mettre sur la bonne voix. Faire comme tout le monde, devenir un shinobi comme un autre, c’était peut-être ça mon destin ?

      Elle revisitait souvent l’époque de son enfance. Vous savez, celle des joies incommensurables de l’innocence et de l’insouciance. Souhaitant sans cesse effacer de sa petite mémoire les moments plutôt désagréable dont elle avait souvent fait face. C’était le genre de petite teigne que tout le monde essayaient d’éviter, celle qui ne se laisse pas abuser par les événements. Aimant mettre des bâtons dans les roues de ceux qu’elle aurait pu considérer comme de proches connaissances. Elle n’aimait pas admettre ses torts. Shy aurait pu paraitre hautaine pour n’importe quelle adulte et pourtant chaque enfant du pays savait pertinemment que sa colère ne venait pas de ses nombreuses qualités, mais quelles qualités… En plus d’être très impertinente c’était une flâneuse à temps plein. Comme un objet mit en évidence sur la table, il était très facile de ne pas la remarquer et à l’époque la jeune fille jouait beaucoup sur cela pour éviter les taches pénibles. Ne discutent qu’avec une poignet d’enfant de son âge, une attirance plutôt restreinte envers les grandes personnes. Peut-être encore trop jeune pour estimer ou peut-être pas assez.

      L’enfant seul et cruelle ne regardait jamais le ciel avec envie, l’enfant indifférent et amer ignorait sans retenue l’horizon au crépuscule. Et l’hiver venu, elle aimait, sans crainte, poser son regard près de la cheminée, fixant toujours d’un coin l’attitude toujours désastreuse de son frère qui n’avait que cinq ans de plus qu’elle. Le même regard reposé, un visage d’ange qui ne pouvait rien présager de bon, un sourire timide. Il était tout son contraire, c’était un garçon déjà respecté et digne d’un grand avenir. Toujours le nez dans ses bouquins et toujours en forme à l’entrainement. Elle le méprisait pour ses bonnes manières, pour cette gentillesse trop belle pour être vraie. Pourquoi laver la culpabilité de la famille, pourquoi essayer de se repentir pour des erreurs non causées ? Pourquoi une telle hypocrisie ? Le frère et la sœur vivait tout deux auprès de leurs grand-mère, une vieille femme plutôt aigri mais très protectrice envers ses petits-enfants. Les parents ayant été bannis du village pour trahison. L’ainé ne voulait pas endosser toute la responsabilité des parents et faisait en sorte d’être le meilleur partout, le plus attentif même si plus personne ne le jugeait. Il ravalait sa fierté à chaque fois que sa sœur l’humiliait et il ne pouvait cesser de l’aimer malgré tout.

      Et d’un autre côté la gentille petite fille respectueuse envers sa vieille grand-mère, admirative et toujours à l’écoute. Peut-être l’une des seules personnes que Shy appréciait vraiment à sa juste valeur. Des journées entières ou parfois à faire l’école buissonnière pour accompagner son aïeule. Pourtant l’autoritaire grande maman ne paraissait pas rustre, c’était une vieille femme plutôt traditionnelle souvent en kimono. Très souvent absente, elle arrivait parfois à semer sa petite fille ce qui aurait pu paraitre bizarre venant d’une telle bienfaitrice. Shy pensait qu’elle pouvait très bien ce faire respecter sans faire la « lèche botte » comme elle aimait le cracher à son frère. C’est en partie grâce à cette présence que la petite fille pouvait sans mal suivre les cours et se retenait même parfois d’être brutale ou inconséquente. Une forte relation qui aurait pu durée encore bien longtemps. Mais lorsque Shy atteint sa dixième année, un funeste événement vin en pâtir à son moral. Alors que sa grand-mère quitta pendant une longue période le domicile familial, elle revint un matin avant de s’endormir, pour toujours. Celle-ci périt de mort naturelle. Une étape importante pour le frère et la sœur qui honora son décès avec dignité. Pourtant, celle-ci ne fut pas enterrée mais incinéré sans aucunes raisons qui pouvaient être apparente. Durant cette même année, la jeune Shy couverte de rage et de mépris envers le village découvrit le fin mot de l’histoire. Après son retour et avant sa mort, ont se rendit compte de ses allé et venu au village, celle-ci complotait avec les villages ennemis par information. Elle fut considérée aussitôt comme traitresse. Pendant plusieurs semaines, les deux enfants connurent la souffrance infligée aux traitres.

      Shy ne s’en remettra jamais.

      Je me souviens maintenant. Comme à la veille.

      J’ai encore tellement de choses à apprendre, cette reconnaissance ne m’intéressait pas, la victoire, la défaite qu’importe. Je n’ai jamais voulu qu’on me sauve ce jour là. Je n’ai jamais voulu que mon cœur soi soulagé par n’importe quelles dissuasions que ce soit. J’ai peut-être vue en lui comme bon nombres d’autres, une part de cruauté mais surtout une grande admiration. Cependant, je n’étais toujours pas attentive et je n’entrevoyais aucun retour en arrière. Haut dans le ciel, j’imaginais cet artiste comme accompli. En bas dans mes émotions peut-être un peu trop fortes…Je me souviens encore de la terre -encore chaud imprégné de sang- en tombant. Une explosion au sol venait de frapper un collègue. Je m’étais arrêté, pendant que l’homme à la chevelure blonde dans les airs disparaissait. C’est vrai, cette voix, si reposante, si narcotique. Réduit à quelques balbutiements déchirants. Un homme qu’on disait élancé, grand, aujourd’hui recourbé sur lui-même pleurant comme un chiot pleurant sa mère. Personne ne viendra plus pour toi, personne ne viendra réconforter ton imminente mort. Parce que tu ne seras plus la pour entendre mes blâmes. Et avoir essayé de me tenir un baiser, n’aurait pas arrangé ton cas.
      Mais, je me couche.
      Ce fut un dernier adieu, inoubliable.

      L’allure plutôt accablé lorsqu’il déplora son dernier instant. Comme un esclave assassiner par la vie, comme une espérance jamais connu. Il était le frère de tout le monde mais cette attirance obsédante, inexplicable paraitrait anormale pour un grand nombre de personne. Il ne voulait pas que se sentiment monte en lui, elle était ce qu’il méprisait le plus au monde, elle était cet amour insurmontable et douloureux que jamais il n’aurait pu concrétiser. Un mur se tenait dorénavant face à ses deux êtres que tout opposait mais que tout reliait par le sang. Lorsqu’elle découvrit l’insalubre mais néanmoins tragique vérité une barrière d’amertume et de honte s’éleva dans les méandres de son âme grisâtre et morne. Souillée de tout son être, elle continua de se raccrocher à la seule vision qu’elle n’eu jamais de lui : Un jeune homme rongé par une peur insoupçonné, celle-ci, riant encore de la terreur qui humidifiait ses yeux le soir venu. D’abord de la pitié envers une utopie ridicule et ensuite écœurer par un tel manque de respect. L’homme ne fascine pas, il vit des horreurs et en ce bas monde, il meurt. Il est malhonnête et ingrat, c’est un pervers avide de ses propres biens, il est comme l’orgueil mais il pleure.

      Shy dévia son regard du cadavre de son frère, se rendant compte qu’aussitôt plus rien d’apparent n’entourait son champ de vision. La seule chance qu’elle c’était accordé après tant d’années, elle venait de la perdre pour toujours. La bouche entre-ouverte, le regard vide, un silence pesant rajoutait à la scène un soupçon de désarroi. Le corps de la jeune fille se crispa brusquement avant que celui-ci ne s’écroule au sol. La main presque étendue de son frère amortie la chute du crâne de la gamine. Et en l’espace d’une seconde, un flottement humide et glacial dans l’air vint se frotter aux esprits qui tourmentaient maintenant l’âme devenue sensible de Shy.

      C’est quand on se rend compte de nos pertes, que tout devient secondaire.
      J’avais clos le chapitre avant même que la vraie partie ne commence.

      Retour.

      Je crois que ma frustration pris une place idéale dans mon subconscient. Voilà deux mois que la guerre c’était terminé, en fait, je ne sais pas vraiment si celle-ci eu une fin bien heureuse. Comme n’importe qui, je me suis relevé avec difficulté mais ce n’était pas à cette fin que je pensais. A priori, les dégâts d’après bataille n’avait pas fait beaucoup de ravage que se soit physiquement ou mentalement. C’est comme si j’avais perdu la parole pendant cette longue période d’après guerre. J’avais suivi la masse sans vraiment me poser de question. Je ne réfléchissais plus à mon futur quotidien. Ce même soir, j’ai levé les yeux vers le ciel pour la première fois, je cru ressentir une peine, incontestable, que je ne pouvais plus nier. Lors de la marche du retour jusqu’au village, il y avait cette voix constante et régulière qui me disait, doucement, comme si j’étais ma propre enfant. Cette même voix qui m’incitait à partir, à disparaitre, qui m’affichait le visage d’un frère mort et d’une vieille femme hypocrite. Deux sourires que j’ai vus si longtemps affiché à tout jamais volatilisé. Une sensation étrange, me faisant presque ressortir d’un univers que je ne connaitrais plus.

      « Maintenant, tu dois partir, tu es bien loin de tout cela. Disparait, s’il te plait, et ne revient plus. »

      Quelques mois passèrent encore. Je voyais aujourd’hui une autre lumière que l’autre part de moi ne semblait pas encore vouloir avaler correctement. Pourtant quelques semaines plus tard : Il n’était même pas midi passé, que mon réveil fut brusque et assez déroutant. Caché sous une couette et d’innombrables piles de parchemins en tout genre, un visage vint se dessiner grâce à la forte lueur du soleil. Je crois que c’était moi, complètement endormie. Ma minuscule chambre rectangulaire ne laissait pas vraiment place à l’imagination et aux rangements. Je n’étais pas quelqu’un d’ordonné et j’aimais tout ce qu’on pouvait considérer comme « nid douillet ». Au moins, j’aurais pu être sur de n’avoir jamais aucuns invités. Me relevant avec difficulté en voyant le désordre au sol, j’approchai la fenêtre avec inconvenance avant de pouvoir ouvrir le loquet de celle-ci. Un paysage familier et endormi. Le village n’existait plus de la même manière. Je repensais sans cesse aux années passé. Aux efforts que je n’avais finalement pas fait, aux amitiés que je n’ai pas eu le temps de découvrir et tout cela en ne regrettant qu’une chose, le détachement que j’éprouvais pour tout cela.

      La vie est vide, elle est maussade, je porte la honte sur mon visage. Je suis l’être invisible. Maitre asservi par un propre « moi » qui sonnerai faux. Je ne sais pas ou plus ce que je cherche. Je ne peux compter que sur elle-même. Seule, elle.

      Souvenirs enfouis

      Durant sa jeunesse, Midori Mazura jounin du pays de la terre faisait partie de l’Unité spécial des explosions. Comme son nom l’indiquait, cette unité consistait en l’utilisation d’explosif en tout genre, durant des missions plus ou moins diverses -comme des attentats, libération de prisonnier etc.- Chaque Mazura était destiné à faire partie de cette élite. Bien sur, cette voie n’était pas obligatoire pour tous les enfants nés de la famille. Lors des fêtes du village, des gigantesques feux d’artifices étaient organisés par cette même lignée. Ses feux d’artifices étaient recensés comme les plus importants et plus beaux, beaucoup de villages voisins et alliés venaient pour admirer le spectacle. Unique en son genre, ses feux avaient toujours bercé l’enfance de la jeune Shy et de son frère. Midori, sa grand-mère après avoir dépassé la soixantaine fut seule pour s’occuper des explosifs durant les fêtes. Les parents n’étant plus là. Shy se remémore aujourd’hui ce pourquoi elle décida malgré tout de continuer à suivre les engagements de la famille. L’isolée jeune fille repris avec acharnement le nom des Mazura qui disparut après la mort de ses proches. Elle avait souvent hésité à quitter le village pour mener une autre vie. Mais c’est en se souvenant de ses nombreux feux d’artifices qu’une part d’elle-même refusa la fuite. Et si un jour, ses explosions de lumières et de couleurs revenait à faire revivre le village ? L’enfance que ne s’était jamais accordé Shy était encore cachée, là, profondément dans son âme. Pourtant, elle décida tout de même d’enterrer le passé définitivement. Reprenant les traces qui avaient toujours été marqué, non loin d’elle. Bien avant la guerre et après celle-ci la jeune fille décida d’améliorer son affinité et de devenir meilleur en Bakuton. L’art de l’explosif n’avait plus de secret pour elle, elle avait connu ses parents et avaient suivi les conseils de sa grand-mère. Ce n’était pas ce qu’elle avait toujours voulu, mais elle ne pourrait pas continuer à afficher cette honte qui perdurait de toute manière après sa propre mort.



      Journal de bord : Remplir ici / Raconter les moments important au court de vos rp

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