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 C'est Hoon.

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Chii Yachou
Juunin d'Ame
Chii Yachou


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MessageSujet: C'est Hoon.   C'est Hoon. Icon_minitime1Ven 28 Oct - 21:32


Naruto no Seitan'
Fiche Rp


C'est Hoon. Zzzzzz12

    Nom : Mie
    Prénom : Touhou
    Surnom : Hoon
    Âge : Des poussières
    Poids : Légère
    Taille : 170cm
    Lieu de naissance : Un village qui n'existe plus.
    Village actuel : Ame
    Rang : Genin.
    Niveau estimé : A voir.
    Date de promotion Genin : Ce jour-ci.
    Date de promotion Chuunin : ///
    Date de promotion Juunin : ///


      Spécialités : A venir
      Affinités : A venir

      Style de Combat : C'est encore trop tôt.


      Liste de Techniques :
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        etc...


      Relations :



      Histoire :

      Nouvelle vie.


      Peur du regard.

      Doux crépuscule à l’orient. Face terminale venant fendre le miroir. L’abîmer disparaissant dans un lac de soleil. Là ou là-bas. Qu’importe la distance, son cœur n’est plus. Qui parle d’une survivante à l’aspect basané. Qui regarde une morte au regard, lui, encore bien vivant. La peau abrupte, lourde, laissant le doute sur la nature humaine même de cette étrange silhouette. Elle n’est pas aussi éclatante que la couleur du sable ou encore que l’océan. Longue et fine démarche indécise. Sans bruit, durant la nuit, ne pouvant arracher un seul soupire de sa part. Ses grands yeux tombant ne pouvant admettre le repos. Nuance et contraste sortant du néant. L’œil timide transperçant chaque âmes chaque désespoir en une lueur troublante et aveuglante. Le visage désabusé. Tant de mots pour l’être fantasmagorique. Elle n’est pas naturelle et encore moins belle, elle est se qu’elle n’a jamais rêvé d’être. Elle est son cauchemar, un cauchemar devenu réalité. Lorsqu’elle songeait, debout, face au zénith de Midi. Le regard levé vers le ciel retraçant un parcours bien flou tout en ne voulant pas découvrir l’avenir. Sortie de nulle part, avec le corps féminin d’une autre, culpabilisant pour l’être dévoré, déchiré cessant à tout jamais de vivre. Déboussolé et ahuri au dehors ou même la nature semblait s’être changée ou cette époque n’était plus la sienne. Elle c’était endormie durant des années, des siècles, qui savait réellement se qu’elle pouvait penser, se qu’elle voulait voir ou revoir, se qu’elle voulait de nouveau goûter. Conscience profondément dégarni, se résignant à tout jamais que se qu’elle avait connu ne reviendrait plus. Elle venait de sortir de son tombeau humide et calcareux. Toute son énergie vitale venait de détruire le corps de cette gamine qu’elle avait volée sans compassion. Une partie de la chevelure ébène de l’ancienne hôte tombait comme des feuilles mortes. Le teint rosé s’assombrit petit à petit ne laissant paraitre qu’une peau dure et grise. Toute la souffrance parut lors de « l’échange » se figea dans des yeux fuyant et pourtant éclatant. L’effort donna au corps une allure décharnée et fragile. Sa peau était pourtant brûlante et résistante, mais la couverture n’était qu’une apparence. Le comportement de son âme avait totalement déformé la physionomie de l’ancienne propriétaire. L’évolution de celle-ci n’était peut-être pas encore totalement définie, pourtant cette première matière chagrina l’aura de Touhou de manière considérable. Cela étant dit, l’esprit lui très humain de la revenante était bien clair. Contrôlant parfaitement se nouveau corps, consciente de sa situation actuelle tout en ne sachant rien de cette deuxième vie. Il n’y avait rien que du vide aussi loin dans son subconscient. Ne pouvant contempler que ses mains et le reste de son corps, son nouveau visage, lui, n’était pas encore apercevable. Une longue appréhension vint émerger ses pensées. Elle n’avait jamais considérée la beauté mais elle redoutait le regard qu’on lui apporterait, si bien sur, elle avait la chance ou malchance de croiser quelqu’un. Elle était encore trop loin de tout ça, elle n’avait plus notion sur le temps et l’espace qui l’entourait. Se demandait-elle peut-être si elle rêvait ? Si elle continuait de voir un monde indistinct ? Elle n’y arrivait pas, elle n’arrivait toujours pas à le concevoir.

      Ne plus être que l’ombre de soi-même.

      Plus haut dans les nuages, le soleil transperçant les voiles blancs naturelles du ciel, heurtant les iris sensibles de l’inexplicable fantôme. Le silence aux alentours rendait plus nerveuse encore le corps de la « jeune fille ». Après une dizaine de minutes sans bouger, une fine pluie vint casser le mutisme devenu trop lourd. L’ombre sous ses pieds disparaissait petit à petit comme si ceux-ci venaient d’être absorbés. Agitée et cogitant, malheureuse nouvelle, l’âme couchée face à l’impuissance de cette colossale que l’on nomme Nature. Elle n’avait d’autre choix que d’être prête. Lorsqu’elle fit son premier pas en dehors de son temple, de son ancien refuge, la pluie s’évapora en effleurant sa peau provoquant une fumée non-épaisse mais très diffuse. La robe grisâtre qui habillait Touhou était aussi brûlante qu’un feu que l’on essayait d’éteindre. Cette réaction inattendue fit reculer de plusieurs pas la créature la relâchant alors dans son ancien sanctuaire. Son attitude changea très rapidement et une certaine rancœur s’afficha sur son visage lui donnant un rictus à la fois dégouté et attristé. Elle se recroquevilla sur elle-même comme une carapace qu’elle voulait faire apparaitre. Mais sa peau dénudée la rendait bien trop pathétique. D’abord au fond d’un coin, tremblant pauvrement, fermant les pupilles. Ne sachant toujours pas quoi faire et cette pluie qui n’allait jamais cesser. Poussant quelques gémissements tragiques en espérant qu’une aide lui soit apportée. Pourtant, rien de bien concret ne semblait vouloir arriver. La fatigue déjà présente s’accentuait par des maux d’estomac déchirant et cette chaleur bouffante qui réchauffait son cerveau de manière plutôt possessive rendait son esprit comme une bombe. L’impression que cette surchauffe allait l’achever, elle se précipita dehors et tomba au sol comme une mourante. D’une manière ou d’une autre, cette averse soulagea le malheur mais lui fit perdre connaissance. Plus tard, elle se réveilla sous un porche couverte d’un grand voile gris, la pluie continuant son ascension. Touhou tout en refermant les yeux s’allongea au sol et se rendormit.
      Remémores-toi.



      Un coup dans le cœur, un coup plein de rancœur. Encore un dernier son, encore un dernier soupir. Comme un dernier tambour en attendant la fin de la partie. Insupportablement, elle dégainait l’épée, celle qui annonçait la mort et l’inenvisageable destinée de la future meurtrière. Elle n’avait jamais autant aimé, elle n’avait jamais rencontré une telle personne. Un être aussi manipulateur et odieux. Elle n’a jamais pu détourner son cœur contre une telle superficialité humaine. C’est vrai, elle n’était pas belle, pas très joviale pourtant sa richesse matérielle lui donnait le charme que personne ne lui aurait accordé en temps normal. Malgré son aigreur légendaire, la riche patronne possédait un cœur aussi pur que la rosée du matin. Le monde n’était qu’un vaste terrain de haine aussi désert et dangereux que les milliers de clans et de combattants vivant à cette époque. La fameuse héritière qui répondait au nom Miguru Mie possédait les plus grandes terres de cette époque. Bon nombres de respectables mercenaires servaient et protégeait l’Hime. Elle avait depuis longtemps maintenant perdu ses parents et le reste de sa famille lors d’un attentat. Elle était totalement seule et seul une poignet « d’amis » la soutenait. Si elle venait à mourir avant d’avoir enfantée, elle mènerait certainement la semi-paix actuelle en une guerre civile plus meurtrière encore. A cette époque et selon les dires de la famille depuis bien des lunes déjà, légué l’ensemble du trésor familial à une connaissance était une honte et même un blasphème. Mais des années passèrent et rien ne venait enchanter les quotidiens fastidieux et sombres de Miguru. Cloitrée tout en vagabondant dans ses milliards de pensés ne pouvant admirer le soleil couchant durant la tombée de la nuit.

      Désespérément, un soir de fête tout près de la grande place. Loin du temple ou devait s’y terrer la jeune femme, celle-ci se faufila entre deux chemins se protégeant le visage d’un voile aussi noir que la nuit. Lorsqu’elle arriva à l’endroit prévus la fête battait son plein de manière plutôt spectaculaire. Les milles lumières qui décoraient les bâtiments et le ciel émerveillaient la bonne fille de famille encore hésitante. Tout en nageant de la foule de manière discrète et rapide, toute cette liberté d’un coup, la musique et les différents mouvements qui rendaient euphorique Miguru. Toujours caché par peur qu’on la reconnaisse elle se mit soudainement à rejoindre les cercles de scènes pour y danser, les gens autours plongé dans la même extase qu’elle ne se rendait plus compte de rien. Après deux trois heures de festivité. Un bruit retentit près de la forêt. Des dizaines d’étranger arrivèrent tous vêtus d’une semblable cape noir et rouge. Un cri avant la panique, les gens se défoulèrent rapidement avant de laisser place à un chaos certains. Dévastée par cette rapide confusion, Miguru essaya de fuir tant bien que mal. Elle s’enfonça dans la forêt seule en espérant rejoindre le plus vite possible ses habitations. Arrivée à plusieurs pas, en pleins dans sa course, elle heurta un grand personnage de manière plutôt violente avant de se retrouver face contre sol. C’était un jeune homme qui revenait lui aussi de la fête. Il portait un masque de renard. Il lui tendit la main. C’est à cet instant précis que la jeune femme tomba amoureuse. Le visage maintenant à découvert, l’homme savait exactement d’où venait Miguru. Sans un mot, il décida de la ramener au Temple. Elle lui fit aveuglement confiance. Après cette nuit là, les deux êtres qui semblaient tout deux amoureux ne se quittèrent plus. Miguru était redevenu une figure emblématique, elle se sentait protéger et prête à tout. Durant ses années une prospérité s’installa au sein des terres des Mie. C’est durant cette année que Miguru tomba enceinte. Après cela, son mari, l’homme qu’elle aimait éperdument changea soudainement de comportement. Il était devenu bien plus froid et plus distant. C’est une nuit ou la jeune femme dormait qu’elle se réveilla en sursaut sentant une main froide et dur serrer son coup. Elle se débattait des minutes et des minutes pensant mourir dans les heures qui arriveraient. Elle se rendit aussi compte que son agresseur n’était autre que lui, l’homme qu’elle avait épousé. Par chance, elle réussi à sortir de cette impasse musclé totalement désemparé. Le dojo était totalement vide, personne n’était pas pour l’aider, personne n’était là pour l’entendre.

      Rêver encore, l’illusion de l’amour, le ventre plein de regrets pleins de peurs. Ne plus comprendre pourquoi tout change en si peu de temps. Ne pas comprendre toute cette haine et continuer d’espérer que ceci n’est qu’un cauchemar et qu’elle se réveillera dans ses bras saine et sauf. Et elle revient au point mort, au départ de tout. Elle tient se couteau dans la main et ne semble plus vouloir hésiter, pourtant, elle ne le tue pas. Elle le défigure à vie et fuit sa vie de princesse. Elle voulait aimer et chérir cette enfant comme celui qu’elle n’aurait jamais pu avoir mais cette idée l’insupportait. Alors elle est partie, loin. Elle voulait élever cette enfant malgré la pauvreté et la guerre. Cette jeune fille que l’on nomme aujourd’hui Touhou. Est l’alliance d’une déception et pourtant l’amour de sa mère rendit son enfance bien plus tendre que n’importe quel argent. Touhou avait hérité de la beauté de son père et des grands yeux noirs de sa mère.

      17 ans après la naissance de Touhou. Un élément revint hanter le passé de sa mère et construire un présent douloureux pour la jeune adolescente. Son père revint pour vengeance et assassinat la mère de Touhou. Cette mort fut rapide et pourtant personne ne pu assister à la scène. Lorsqu’elle découvrit sa mère inerte. Un sentiment vide empli son cœur, elle déposa son corps lavé et habillé sur son lit puis elle fuit définitivement la région. Au fiinal, elle ne rencontra jamais son père. Deux années après la guerre qui faisait toujours rage pris de court Touhou, elle se refugia dans un Temple très haut dans les montagnes là ou la pluie ne s’arrête jamais. Elle rencontra à cet endroit un vieux sage aux pouvoirs puissant. Celui-ci scella son cœur et son âme dans un tombeau dit éternel. La vie ne lui apportait plus rien, elle pensait peut-être en faisant cela que si des siècles passaient la vie deviendrait meilleure. Après la mort du vieil homme, l’endroit ne se renouvela pas et le sanctuaire tomba en ruine et s’écroulait tout autour une barrière de pierre infranchissable. Jusqu'à aujourd’hui.



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