Nous Rentrons

Le soleil était haut dans le ciel azuré. Les couleurs scintillaient de mile éclat, le matin s’annonçait beau a l'horizon. De fade couleur naissait, pastel, elle illuminait les regard des passant au sourire bienveillant. Du rose, du bleu, du ocre, du turquoise parfois.
Du navire de Kiri jusqu'à Konoha, il n'y avait presque aucun repos. Quelque minutes seulement, le temps que Kane se retire une épines de la jambe, épine commençant a la faire un peu trop saigné. Elle avait bandé la plait sommairement et était repartie presque aussitôt. ses cheveux long et blond volant dans le vent d'hiver qui annoncer le froid. Kane passa les portes de Konoha.
Aucun soupire de soulagement ne s’échappa de ses lèvres lorsqu'elle passa les portes du village qui devait être sien. Elle fit quelque pas de plus, saluant, s'inclinant, devant les gardes de la porte en s'approchant pour signer le livre de passage.
Enfin, ils étaient rentrer de leurs missions. Mais se n'était tout de même pas fini pour la belle petit fille. Elle tourna les yeux vers Kibin, enfonçant, sans douceur et sans ménagement, ses pupilles d'un bleu acidulé dans les prunelles acier du jeune homme et dit d'une voix neutre : " Je rentre chez moi, j'apporterais mon rapport à 10h30, à la tour du Kage. " La fille s'inclina. Murmurant encore : " Merci pour votre apprentissage."

Et enfin, elle se tourna vers Konoha, marchant d'un pas serein, comme si elle n'était pas blesser ou comme si jamais rien ne s'était passer pendant cette mission. Elle était une jeune fille si étrange, devait penser les gardes. partir en mission avec le Resplendissant Kibin Senju et revenir si peu enthousiaste. Enfin, la réputation de coureur de jupon de Kibin n'était pas méconnue de bien des shinobis et sans doute que le garde était content de voir que la jeune fille n'avait pas changer, et donc, par déduction, que Kibin n'avait pas toucher a la princesse si pure en qui il croyait.
Mais savait il que la princesse si pure ne l'était pas ? Que sa pureté n'avait même quasiment jamais exister ? son innocence avait toujours était déchiqueté et déchirer. Alors, en quoi pouvait il bien croire ? Coucher avec son patron? Cela n'avait pas effleuré l'esprit de Kane, mais même si ça avait été le cas, elle n'aurait pas agis différemment.

Soudain, après seulement 3 pas, la jeune fille se retourna, déclarant, un peu plus fort mais d'un même ton neutre : " Ne me suivez pas. " dit elle, ses yeux toujours enfoncer dans ce de Kibin. Comme un avertissement.
Oui, la jeune fille était chez elle, libérer du joug de son chef de mission car le fait d'être son élève ne durait que pendant cette mission. Elle était ensuite libre, et lui aussi. Ensuite, à lui de vouloir ou non l'avoir sous son commandement.

Kane ne fit que tournez de rue en rue. S’échappant ainsi des regards.